En cette période difficile pour l’Église, Claves sera ainsi l’occasion de mieux présenter la Fraternité Saint-Pierre, son histoire, sa vocation propre, et les raisons doctrinales de ses choix liturgiques, afin d’approfondir ce double attachement qui fait l’âme de cette communauté : la fidélité indéfectible à la liturgie dite tridentine et au Saint-Siège.
S’adaptant aux besoins et aux contraintes des fidèles, qui manquent parfois de temps et des outils pour approfondir des sujets pourtant essentiels, Claves veut donner des clefs pour comprendre les questions de foi, de façon accessible, courte et synthétique, sans pour autant sacrifier la nécessaire précision qu’exige la recherche de la Vérité.
Avec le site claves.org, le district de France de la Fraternité Saint-Pierre se propose d’apporter sa petite pierre à cette œuvre au service de la Vérité.
En plus des articles classés par catégorie (théologie, écriture sainte, spiritualité, famille…), Claves propose également d’approfondir chaque mois des sujets à travers des dossiers spéciaux.
Plus que de l’information, Claves est un site de formation, un complément en ligne de notre revue Tu es Petrus qui existe depuis la fondation de la Fraternité Saint-Pierre en 1988.
Claves, ce sont aussi les clefs de saint Pierre, présentes sur les armes de la Fraternité Saint-Pierre, en signe de son attachement au souverain pontife.
Une lettre électronique permet d’être à tout moment informé des dernières publications, et chacun peut également poser ses questions à un prêtre, pour une formation plus individuelle.
Aujourd’hui, le constat du prophète Osée se fait cruellement ressentir : sans connaissance, la foi se vide, la charité devient creuse et sentimentale, et l’âme est exposée aux graves périls de l’erreur, de la confusion et du relativisme que dénonçaient déjà Benoît XVI.
Une large place est faite également à l’audio à travers les podcasts des conférences de nos prêtres, pour se former autrement.
Plus que jamais, le chrétien doit aimer le Vrai, c’est-à-dire le Christ.
“Mon peuple se meurt, faute de connaissance”[1].